Le terme de cornette, correspondant à l'actuel sous-lieutenant, décrivait pendant l'ancien Régime l'officier le moins gradé dans la cavalerie de ligne (dite « légère ») et aux compagnies des chevau-légers de la Maison militaire du roi de France et de la Gendarmerie de France, de même dans les dragons, hussards, chasseurs à cheval et toutes les autres troupes légères à cheval.NDLR
Dans l Almanach des 25000 adresses des principaux habitants de Paris,
1848 dans l Almanach de la Noblesse, c'est le père de Enguerrand. 1848 c'est aussi l abolition de l esclavage, après la Révolution, car la révolution française de 1848, est la troisième révolution française après la Révolution française de 1789 et celle de 1830.
Sous l'impulsion des libéraux et des républicains, une partie du peuple de Paris se soulève à nouveau et parvient à prendre le contrôle de la capitale. Louis-Philippe, refusant de faire tirer sur les Parisiens est contraint d'abdiquer en faveur de son petit-fils, Philippe d'Orléans, le 24 février 1848. Le même jour, dès 15 heures, la Deuxième République est proclamée par Alphonse de Lamartine, entouré des révolutionnaires parisiens. Vers 20 heures, un gouvernement provisoire est mis en place, mettant ainsi fin à la Monarchie de Juillet.
En 1856 , Enguerrand du Suau de la Croix, à 16 ans travaille en amateur et en artiste les métaux dont il connait toutes les combinaisons possibles
On raconte que Enguerrand qui était encore un gamin avait cassé un vieux cloisonné qu'un parent avait ramené de Chine, en lançant une balle sur cet objet auquel sa mère tenait beaucoup.Voyant la peine qu'il avait occasionné a sa maman, il décida de réparer le vase. Il trouva dans un bouquin emprunté à la bibliothèque de son père, les indications et arriva à le réparer tant bien que mal.
article de synthèse sur le fonds du Suau de La croix entré au musée d’Orsay en 2012, **
1865 dans le Bulletin de Géographie, nous apprenons qu' Enguerrand (à 25 ans) veut partir pour le Haut Nil, pourtant "ça chauffait" au Soudan a cette époque.
C'est depuis 1885 qu' il s'est adonné à l émail s'appliquant plus particulièrement au genre ancien."Après de nombreuses recherches il est arrivé à créer un art nouveau, : les émaux translucides de grand feu, à double haut relief cabochon,sur métal à jour en épousant tous les contours et dont la forme convexe produit des intensités de lumière et des teinte dégradées qu'aucun émail connu n'avait pu donner encore. Il est d'ailleurs le seul à ce jour à obtenir de si merveilleux résultats. Divers journaux, le Figaro, le New York Hérald, le Journal, la Vie nationale, l'Evènement, se sont occupés des travaux de cet artiste." cité dans le dictionnaire national des contemporains 1899/1919
1886 Cette généalogie des Kersauson permet de voir que le comte Suau de la Croix est lié à la famille de "l'Amiral'
Sotheby's a revendu cet ornement de tête, Sotheby's a écrit or, argent et verre, ce n'est pas du verre mais de l émail:
1890 L un de ses dépôts de brevets, que je ne retrouve pas sur l'INPI, il avait déposé ce brevet pour une durée de 15 années.
1898 dans "le journal"
Marié a Mme de Montigny, née de Vincelles, fille du colonel de Vincelles, le comte du Suau de la Croix habita longtemps la Bretagne, où sa femme est alliée aux premières familles du pays, et où il exposa à plusieurs reprises, obtenant notamment un diplôme d'honneur et une première médaille, la plus haute récompense, à Rennes ; il a exposé aussi à Vannes, où lui fut décerné le grand diplôme d'honneur, et à Paris, à la Société des Artistes français Section des Arts décoratifs), en 1898.
Son fils, ancien sous-maître de manège à l'école de cavalerie de Saumur, est aussi arrivé à une grande habileté dans l'art de l'émail, suivant les traces de son père.
M'" Jeanne de Montigny, sa belle-fille et son élève, exposa elle-même des émaux au Salon de 1898, ainsi qu'à l'exposition des Arts de la femme; cette artiste est également une aquarelliste distinguée. Dictionnaire des contemporains 1919
Le Comte du Suau fit de fréquents et longs séjour en Bretagne pendant la période Estivale: Concarneau, Quiberon, Saint Malo, Nantes, le Pouliguen, la Baule , Pornichet.
1899 dans l 'Echo du public, Monsieur Esquieu tente un certain humour en citant des noms nobles." Des chiens, de la Morvonnais, De Lapisse, Du Suau de la Croix"
François Joseph Deschiens, noble écrivain de "collection de matériaux pour l'histoire de la révolution de France depuis 1787 jusqu'à ce jour", Le Chateau du Val à Saint Cast le Guildo d Hyppolyte de la Morvonnais existe toujours, c'est devenu un hôtel. De Lapisse était le directeur du journal Le Soir,
1899 Revue des Arts Décoratifs
Ce miroir est de H.A. Allouard, la médaille de mariage à gauche est de
O.Rotymais la médaille de mariage de droite est du Comte Suau de la Croix,
entourage décoré d'émaux translucides en cabochons
Une maison de Londres "Elton" écrit ceci a propos de
ce pendentif Jeanne d'Arc:
Pendentif Comte Enguerrand du Suau de la Croix. Ce pendentif art nouveau exquis est en or avec saphir cabochons, diamants taille mine et un magnifique centre en cristal de roche représentant Joan d'Arc vers 1900 - c'est unique et très rare. Le musée d'Orsay à Paris détient les archives de Suau de la Croix - faites défiler les images pour le design original de ce pendentif. Date et provenance : 1900 et FranceCondition: très bon Matériaux: G vieux, Saphir, Cristal de roche Poinçons: Comte Enguerrand du Suau de la Croix
La maison Tajan a revendu ce pendentif en émail plique à jour , représente des feuilles et des baies émaillées en résille vert et rouge. Le tour de cou porte également quatre feuilles émaillées vert. Monture en argent. Travail français Comte du SUAU DE LA CROIX. Poids brut : 16,13 gr. Hauteur du pendentif : 4 cm. référence : Salons Art Nouveau chapitre relatant certaines oeuvres du Comte Enguerrand du Suau de la Croix. Et un grand pendentif dans les collections du Musée d’Orsay.
Le comte est un gentilhomme amoureux de son art. Comme Benvenuto Cellini, il travaille assidûment, n'ayant pour collaborateurs » que son fils et sa belle-fille, Mlle de Montigny, comme lui, jaloux du secret de sa découverte.
ll compose lui-même ses dessins et ses modèles, qui sont de purs chefs-d'œuvre, et manie ensuite la lampe d'émailleur, travail très délicat, car il s'agit, pour obtenir la fusion des émaux, de produire une température de 8oo° et de ne pas faire fondre l'argent qui ne supporte pas plus de 1000° pour rester rigide.
Les applications en sont très diverses. Ils peuvent être combinés avec des médailles servant à fixer le souvenir d'un événement important, comme pièces de mariage, par exemple; en ce cas on peut réserver des écussons pour les enfants à naître. et ceci constitue le livre d'or de la famille, qu'on laisse dans le sanctuaire de la tendresse, comme les icônes byzantines auxquelles sont empruntés les motifs ornementaux. "Dictionnaire des Contemporains 1919"
Un beau grand lapis avec de belles taches dorées est placé au centre, et le décor de fleurs en émail cabochon plique à jour l'entoure. Vous pouvez sentir le goût du style d'art médiéval des gravures trouvées partout.
On suppose qu'il n'y a pas tellement de matériaux exceptionnels, mais Suau de la Croix a probablement suffisamment d'atouts et n'a pas besoin de travailler, la fabrication de bijoux était sa propre passion et Je pense que c'était un passe-temps. Cela ressemblait peut-être plus à un amateur qu'à un bijoutier professionnel,
Le style d'art médiéval du Christ et de chaque saint est utilisé pour le goût du design, et les fleurs, les libellules, les oiseaux, etc. sont considérés comme des motifs. Il est original et a un bon goût,
Les articles de presse évoquent par la suite la difficulté et la dangerosité du procédé : la couleur minérale, les pierres précieuses fusionnent dans des fours entre 800 et 1000 degrés, sans arriver à fondre ou amollir en même temps le fil d'or ou de vermeil qui doit strictement
le circonscrire. Du Suau, son fils et sa belle-fille utilisent des gants et masques afin d'éviter des brûlures, en vain parfois Ils travaillent sans relâche jusqu'à huit heures par jour devant fours et creusets.
Revue de la BJO Juin 1901
Plusieurs autres bijoux sont également bien interprétés, au point de vue de
la couleur et de l'exécution, et l'on ne peut que se réjouir de voir se
répandre au dehors un goût si délicat et si sûr pour les beaux émaux.
Je me serais abstenu de parler des émaux de M. Suau de la Croix, si je
n'avais tenu à ce que cette revue fût aussi complète que possible, et je viens
en toute sincérité formuler mon humble appréciation sur ce genre, qui ne me
plaît pas beaucoup.
Tout en reconnaissant que l'exécution de ces émaux doit présenter certaines
difficultés, vaincues par leur auteur, je crois que, surtout au point de vue de
l'art, M. Suau de la Croix s'est engagé dans une fausse voie.
Ces énormes cabochons de couleurs criardes et communes ne se prêteront
jamais à une bonne interprétation des différents styles composant un véritable
bijou. La délicatesse et le fini en seront toujours exclus ; et, en examinant
ces bijoux, l'on éprouve la même impression que l'on ressentirait devant une
bijouterie sertie de pierres de couleurs imitées.
1901 Revue moderne des Arts et de la vie
Frédéric du Suau de la Croix, son oncle, qui fut secrétaire du ministre de Polignac. Dans le salon, des bronzes et meubles Empire superbes, des panneaux sur cuivre et des tableaux précieux : un Menuet de Lancret, une Tempête de Joseph Vernet, une Source de Deveria, etc., à côté de portraits de famille et d'aquarelles de M"' de Montigny, belle fille du maître de la maison. Mais c'est la salle à manger qui contient le plus de richesses : un magnifique surtout de table en bronze doré et ciselé, exécuté à cire perdue, y voisine avec une cheminée du XV eme siècle ; un bahut du XVI eme y dresse ses sculptures luisantes, une Vierge du Folgoët y atteste, par la crudité lentement effacée de ses tons et la simplicité fruste de ses lignes, l'âme ingénue de la Bretagne, où le comte a longtemps vécu ; enfin des vitrines et des médaillers y renferment les oeuvres du comte du Suau de la Croix, depuis ses premiers essais, qui datent de plus de trente ans, jusqu'aux pièces primées aux plus récentes Expositions de Bruxelles, de Berlin, de Monte-Carlo ou de Paris (Société des Artistes Français).
L'artiste lui-même, à notre prière, veut bien non pas nous initier au
secret de son art — c'est pourquoi il ne nous a pas fait pénétrer dans
l'atelier où ronfle le four— mais nous expliquer ce qu'il a tenté (et ajoutons,
avec le plus grand succès) dans la voie où se sont immortalisés les Péricaud,
les Léonard Limosin, et les Claudius Popelin. On sait que ceux-ci disposaient
l'émail sur une surface métallique creusée ou « champlevée » de façon à le
recevoir : ainsi l'alvéole reçoit le miel qui l'emplit jusqu'au bord. Le comte
du Suau de la Croix, après combien de recherches! a réalisé des émaux à jour,
c'est-à-dire établis sur une simple armature dont la matière vitrifiée, épouse
assez étroitement le contour pour s'y maintenir, à la manière d'un fragment de
vitrail dans son polygone de plomb. Ainsi inséré, l'émail perle en quelque
sorte des deux côtés du réseau qui l'enserre et reste suspendu en cabochons
doubles de forme variée, où la clarté passe en s'y teintant de nuances
concentriques. Une goutte de rosée prise dans une maille de toile d'araignée
figure assez exactement le bijou comme aérien dont on peut dire que du Suau de
la Croix est le créateur.
Je ne crois pas, en effet, qu'il existe d'exemples de cette sorte de
travail, que les maîtres italiens de la Renaissance, n'ont pu eux-mêmes
exécuter, et dont la difficulté a toujours rebuté les ouvriers lapidaires. Car
il s'agit d'atteindre la température voulue de 800 à 1.000° pour la fusibilité
de la couleur minérale, sans arriver à fondre ou amollir en même temps le fil
d'or ou de vermeil qui doit strictement le circonscrire.
Adonné de tout coeur à ces recherches techniques et artistiques, dessinant
lui-même la monture de ses émaux d'une infinie variété, dosant les poussières
colorantes et calculant l'intensité de leur cuisson, le comte du Suau de la
Croix me montre les coupes et les patènes, les broches et les colliers, les
chaînettes et les diadèmes sortis de ses mains infatigables. Ces objets
reposent en leur écrin, lumineux jalons de sa marche vers l'idéal, depuis l'âge
de seize ans. Ils chatoient et reluisent intarissablement, hors des coffrets et
des tiroirs nombreux qui font de cette salle, trop étroite pour leur splendeur,
un vrai musée dont bien des pièces ne dépareraient pas la galerie d'Apollon au
Louvre.
Qu'ajouter aux hommages rendus à un maître par son pair ? Tandis que M. du
Suau de la .Croix me parle avec une fougue de jeunesse et une ardeur "de
conviction que les années n'affaiblissent pas, comme si l'artiste tenait de son
terrible collaborateur, le.Feu, sa chaleur et sa mobilité même; je
regarde son fier visage à la Henri IV, dont le masque de verre n'a pas glacé le
sourire sympathique, ses mains dont le revers reste roussi par une haleine
torride, et je, l'admire dans son vaillant effort si bien - récompensé. Aux
diverses expositions où il a pris part, en effet, il a remporté : à Rennes, la
grande médaille d'or et le grand diplôme d'honneur, les deux plus hautes
récompenses ; à Vannes, le grand diplôme d'honneur.; à la Société des Artistes
français (Section des Arts décoratifs), une mention; à l'Exposition
universelle de Paris (1900) une médaille, etc. Espérons qu'il transmettra ses
procédés inventifs et sa noblesse de style, à sa belle-fille et à son fils, ses
seuls élèves, qu'il a déjà initiés en partie et qui sont devenus "des
artistes fort habiles. Nous ne pouvons les présenter aujourd'hui à nos
lecteurs. Aussi bien, le vicomte, son fils, décoré d'une médaille d'honneur
pour action d'éclat, est déjà désigné pour paraître dans la galerie de la Revue
du Bien. En attendant, comment exprimer notre reconnaissance pour l'heure
enchantée que nous passâmes au milieu de ces merveilles ouvragées et
scintillantes ?
Revue BJO sept 1902
M. Lalique expose cette année très peu d'objets comportant de l'émail; c'est plutôt un mélange d'émail et de verrerie, ravissant du reste, comme effet et comme exécution.A signaler, dans la vitrine de M. Lucien Gaillard, des plaques de collier, émaillées à jour, d'un effet très heureux.Les émaux qui décorent quelques pièces envoyées par M. Bonny manquent à ce qu'il me semble d'un peu de fraîcheur, mais sont néanmoins bien exécutés et intéressants.
M. E. du Suau de la Croix continue l'exécution de ses émaux translucides cabochonnés à hauts reliefs. Je constate, cette année, un peu plus de douceur et d'harmonie dans les tons employés, mais je persiste à penser que ces bijoux-émaux, ainsi que ceux exposés par Madame Jeanne de Montigny, son élève, donneront difficilement l'impression que l'on doit éprouver en présence d'oeuvre d'art. C'est primitif, et leur vue fait songer, malgré soi, aux verroteries dont se parent les habitants de certaines contrées peu civilisées. Je doute qu'ils puissent réellement plaire aux « Parisiennes de France ».
M. Auguste Jean nous montre de l'orfèvrerie d'argent émaillée d'une bonne
exécution, dont le genre rappelle de très près les travaux de M. Feuillâtre. Je
ne voudrais pas me montrer trop exigeant, mais n'eût-il pas été préférable que,
tout en employant les procédés qui appartiennent à tous les émailleurs, M. A,
Jean se fût attaché à chercher des effets nouveaux; il est certainement capable
d'en trouver.
1903 dans la chronique de l'église d'Albi
Jeanne de Montigny , élément d épingle ou de corsage dit "Papillon du pays des fées" vers 1903. Email en plique à jour en cabochons sur Vermeil Paris au Musée d'Orsay
Texte de Peartree Collection: Vous verrez que grâce à la collection de
dessins du Musée d Orsay il est possible de dater ce splendide pendentif
Un pendentif Comte Enguerrand du Suau de la Croix
La vente est une vraie rareté. Il s'agit d'un grand pendentif religieux Art
nouveau du Comte Enguerrand du Suau de la Croix datant d'environ 1905. Il a
développé sa propre technique pour un émail plique à jour qui crée des cabochons
d'émail pour un effet bijou global amélioré comme le verre. Le pendentif est
formé de groupes de fleurs entourant une croix grecque, sertie d'une plaque
centrale en émail de style Limoges, rehaussée de diamants, rubis et perles. Il
représente un exemple étonnant de son travail.En 2012, le musée d'Orsay a
acquis les archives complètes de Suau de la Croix et le dessin original de ce
pendentif fait partie de cette collection. Un certain nombre de pièces de lui
sont maintenant exposées au musée.
Son travail a également été largement exposé au Salon de Paris 1903-08.
Fabricant: Comte Enguerrand du Suau de la Croix Concepteur: Comte Enguerrand du
Suau de la Croix.
Marques: Signé Cte du Suau de la Croix, marques de dosage françaises
Matériel: argent, rubis, perle, diamant, émail Etat: Très bon, deux petites pertes d'émail
Taille: 11 cm x 10 cm Poids: 228 grammes, 8 oz
Le 81 avenue Bosquet à Paris
1910 dans la revue "L art ancien et moderne"
1911 dans le journal "Comoedia"
1911 Exposition des Arts décoratifs à Paris
1912 dans "les musées Municipaux"
Les envois les plus remarqués furent ceux où triomphaient à la fois la forme et la somptuosité ; de M. Lionel Le Couteux, qui sait si bien marier l'or à la nacre; de M. Charles Rivaud, aux vigoureuses harmonies ; de la maison Vever aux émaux admirables, du comte du Suau de la Croix avec ses émaux translucides, de M. E. Lelièvre, de Henri Hamm, un spécialiste de la corne.Il faudrait citer tout le catalogue pour ne pas commettre d'injustice.
La tombe de Enguerrand du Suau de la Croix au
cimetière du Père Lachaise
Sépulture de Marie-Céleste de Marigny de Mandeville (1784-1864), fille de Pierre Philippe de Marigny de Mandeville , l'homme le plus riche de Louisiane à son époque, elle tenait salon à Paris sous le nom de «marquise de Livaudais .https://commons.wikimedia.org/wiki/File:P%C3%A8re-Lachaise_-_Division_18_-_Livaudais-Suau_de_la_Croix_06.jpg
Jean Cuny dans le Journal Le Gaulois le 22/03/1914
Le deuil était conduit par le vicomte du Suau de La Croix, fils du défunt, et les autres membres de la famille.Parmi l'assistance
Marquise de La Guibourgëre, générale Lambert, comte et comtesse de Sesmaisons, général et Mme Feldmann, comtesse du Tilly, comté et comtesse de Joybert, vicomtesse de GuaÏès de Mézaubran, marquis et marquise de Nieuil, générale Bonnier, vicomte et vicomtesse de La Monneraye, comte Fleury, colonel et Mme d'Ancy, comtesse de Verneuil, grénérale de Perini, vicomte et vicomtesse d'Arjuzon, M. R. de Prémesnil, comte et comtesse Récopé, marquise de Courtarvel, M. Jean Kinen, vicomtesse J. de Nantois, baron et baronne R.de Mandell d'Ecosse, colonel et vicomtesse de Courson, Mme et Mlle Rabinovitch, etc., etc.L'inhumation a eu lieu au cimetière du Père-Lachaise.
Sources: Archives Nationales et le site Gallica
**Véronique Kientzy, « Le gentilhomme émailleur et la goutte de rosée. Un important fonds d’œuvres, d’archives et de
documents au musée d’Orsay », La Revue des Musées de France, revue du Louvre, 2018, n°4Un commentaire? ci-dessous ou richard.jeanjacques@gmail.com vous pouvez m adresser des compléments a mon travail, ou des photos