Georges Le Saché, issu d une famille d'artistes, fut un grand joaillier, un vrai professionnel, il travailla dans l ombre de ses grands clients, comme Frédéric Boucheron ou Tiffany.
Il ne se mit jamais en avant , il est donc difficile de connaître sa production qui fut pourtant très importante. La maison Boucheron de nos jours cite souvent ses collaborateurs ou ses ateliers fournisseurs, ce qui est une excellente chose, mais ce fait est rare, et si nous n'avions pas Boucheron et Henri Vever!!!!!
Travail sur ivoire , un encrier or et émail de G Le Saché en 1892
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Remontons un peu dans le temps: Jean Le Saché, grand père de Georges, né à Caen en 1789, exerçait la profession de graveur en bijouterie lorsqu'il fut incorporé, en 1808, au 22e régiment de chasseurs à cheval.
Il prit part aux campagnes d'Allemagne en 1809, un passage à Gand lui permet d 'être remarqué. La ville de Gand, faisait alors partie de l'Empire français, le maire l'avait chargé d'exécuter une médaille commémorative d'une exposition de dessin. « Ce jeune militaire qui embellit ses loisirs par la culture des arts, s'est acquitté de cette tâche honorable d'une manière qui ne laisse rien à désirer, dit l'oracle de Bruxelles, quant à l'invention du sujet, à l'élégance et au fini de l'exécution. » Jean fit la guerre d'Espagne de 1810 à 1812, d' Allemagne en 1813 et de France en 1814, au cours desquelles il reçut de nombreuses blessures : coups de feu, coups de lance, coups de sabre, coups de baïonnette, pieds gelés, etc. Il se fit remarquer dans différents combats et fut proposé pour la croix « pour s'être distingué par des traits de courage et de bravoure « (voir le Carnet de là Sabretache, no 177, sept. 1907, p. 568).
Il fut décoré de la croix de Guerre et de la légion d'Honneur.
Rentré dans la vie civile, Jean Le Saché reprit sa profession de graveur en médaille à la monnaie de Paris.
1877 Le père de Georges
Plus précisément Émile Le Saché, dessinait des "chiffres" et des "armoiries"
Le père de Georges était Émile Le Saché, né en février 1817, à Paris 11 ème élève du Baron Gros, il dessinait bien, faisait de jolies aquarelles et avait un réel talent
de graveur en taille-douce, avec un tempérament de véritable
artiste. Son aversion pour le commerce était telle qu'il ne voulut
jamais s'occuper des affaires de sa femme, qui était établie au
Palais-Royal à l'enseigne de la Belle Ferronnière, où elle vendait
de la menue bijouterie
Thierry Le Saché l'arrière petit fils de Georges a bien voulu me confier des aquarelles de Emile Le Saché (1817-1890)
Son Laitier
Sanguine de Emile le Saché
Médaille de Bronze Emile Le Saché apparemment 1842
Peinture de William Bouguereau
Georges Le Saché, né en 1849, se destinait aux Beaux-Arts. Il passa les premières années de son adolescence dans les ateliers de peinture, entre autres dans celui de Bouguereau, ce qui dut lui former le gout.
Ses débuts dans une carrière qui lui plaisait faisaient déjà concevoir les plus légitimes espérances, quand ses parents, désirant pour lui un avenir plus assuré que ne semblait le promettre l'art du peintre à cette époque, l'envoyèrent en Allemagne en 1866. Il entra en qualité de dessinateur dans l'importante maison de bijouterie de Friedman, bien connue des producteurs français de ce temps, où il fit ses premières armes dans nos industries. (henri Vever)
Il avait l'intention de fréquenter l'École des Beaux-Arts de Paris, mais ses parents craignant que cette carrière ne fût trop instable et désirant quelque chose de plus sûr, l'envoyèrent en Allemagne en 1866 à l'âge de 17 ans.
Georges Le Saché peint par son père Emile
Il avait l'intention de fréquenter l'École des Beaux-Arts de Paris, mais ses parents craignant que cette carrière ne fût trop instable et désirant quelque chose de plus sûr, l'envoyèrent en Allemagne en 1866 à l'âge de 17 ans.
Une fois en Allemagne, il ne tarda pas à repartir, voyageant cette
fois en Angleterre où il étudia et apprit le plus possible,
appliquant ses connaissances du dessin et du design à une variété
d'arts
décoratifs.
C'est
à Londres que vint le surprendre la déclaration de guerre de 1870.
A cette nouvelle, Le Saché rentre en France où son patriotisme
l'appelle et, incorporé au Ier bataillon des mobiles de la Seine,
fait bravement son devoir de soldat, du 9 septembre 1870 au 7 mars
1871.(d apres Vever)
Le plus tôt possible, il
retourna à Londres où il resta encore une année jusqu'à ce qu'il s'installe finalement à Paris et trouve du travail en tant que
dessinateur pour le bijoutier Lucien Falize. De 1872 à 1877
En mars 1877 une société est formée entre Baucheron, Guillain et Georges Le saché, et le 24 mai 1877, Georges épouse la fille de Mr Baucheron , Louise Baucheron
Les témoins vont déclarer sur l honneur que le nom de Georges Lesaché sur son acte de naissance est une erreur et qu il se nomme bien Le Saché en deux parties.
Et sur l acte de mariage l'un des témoins est Prudent Fredéric Boucheron, Chevalier de la Légion d honneur, 42 ans demeurant 19 rue de Valois(au Palais Royal) et il est noté sur l acte de mariage comme étant un ami
Je pense que cette information concernant ce poinçon et venant du ministère de la culture n'est pas exacte, en effet il n'y a aucune trace de la société Boucheron & Le Saché.
J ai demandé aux services du patrimoine de la maison Boucheron qui ne trouvent pas d informations sur ce poinçon. Je renvoie a l acte de mariage ci-dessus, le témoin de mariage était bien Frédéric Boucheron mais c'était le mariage de Le Saché avec la fille de Mr BAUCHERON
Ainsi diverses personnes citent par exemple:
Après cinq années
de formation et d'expérience, il a rejoint le cabinet Baucheron &
Guillain, pour finalement reprendre l'activité qui a ensuite duré
30 ans. Comme l'a noté Henri Vever, il est devenu l'un des designers
et créateurs les plus populaires de Paris, fournissant aux grandes
entreprises, y compris Tiffany & Co.,
Baucheron et Guillain ont travaillé pour les principales maisons de
la capitale, entre autres pour Boucheron. C'étaient d'excellents
joailliers, qui formèrent un grand nombre de bons ouvriers. Louis
Baucheron (1826-1905), entra en apprentissage vers 1840, chez Marret
et Jarry, et ne tarda pas, sous la direction de son père, qui y
était chef d'atelier, à devenir très habile. Il s'établit en 1860
et s'associa à Guillain, qui sortait de la maison Deschamps.(Henri Vever)
Des exemples
similaires d'ivoire sculpté par le Sache et vendus au détail par
Tiffany & Co. sont illustrés dans Bejeweled par Tiffany
1837-1987, Clare Phillips, éditeur, p. 33. Georges le Sache a
commencé sa carrière en collaborant avec Lucien Falize, puis a
repris l'importante entreprise de fabrication de Baucheron &
Guillain (Skinner)
Et surtout:
A propos de Baucheron: c'est lui qui inventa le système, si employé aujourd'hui, pour le montage des boutons d'oreilles « à clous » appliqués sur l'oreille et dans lequel la tige, après avoir traversé l'oreille, est introduite au centre d'un petit disque creux, où elle est maintenue par un cliquet ou ressort intérieur. Il prit, en 1868, un brevet pour ce système, que son chef d'atelier, nommé Traus, tenta de modifier pour prendre lui-même un autre brevet.
Georges le Saché eut 4 fils
Maurice Le saché : 1878-1926
Marcel Le Saché : 1880-1926
Robert le Saché : 1885-1943
Jean Le Saché : 1891-1982
Robert n'eut qu'un enfant Georges(1925-1992) père de Thierry qui m a adressé ces aquarelles d'émile
1879
Le boîtier
circulaire en ivoire sculpté, décoré de tulipes émaillées
multicolores et de motifs floraux, le haut centré d'un cabochon
rubis dans un cadre émaillé bleu, s'ouvrant pour révéler un
compartiment contenant une plume en poudre avec un manche en ivoire
sculpté, 1899, 5,5 cm , avec des marques de dosage françaises pour
l'or
Signé Boucheron
Paris pour Frédéric Boucheron. Revendu par Christie's
Boîte d allumettes et cigarettes en or 8
carats, ivoire et émail, Georges Le Saché pour Tiffany & Co.,
France, avec une chaîne en or, France.
L'étui formé de
deux segments d'ivoire sculpté à motifs foliacés et de petits
fruits, surmonté de sections dorées de trèfle et de feuilles
rehaussées d'émaux multicolores, signée Tiffany & Co., avec
marque de fabricant pour Georges Le Saché et marques françaises;
suspendu à une chaîne en filigrane d'or, longueur 60 pouces, avec
des marques de dosage françaises; fin du 19ème siècle.
C'est une revente de Christie's , notons que pour Tiffany Le Saché a fabriqué l objet en 8 cts, a moins que la maison de vente n'ait fait une erreur avec 18cts ???
Ces objets de Le Saché sont datés entre 1880 et 1890
Cet objet est un allume cigare en ivoire, or, et émail fabriqué entre 1880 et 1895 par Georges Le Saché il est en ivoire or, et émail
Ceci est un manche d ombrelle, des matières merveilleuses mais surtout...le dessin, environ 1880 à 1899???
En 1881 dissolution de la société Baucheron et Le Saché, cette société qu il avait constituée avec son beau père en 1877
1885 Une paire de jumelles Le Saché, c'est son style!
Les mêmes jumelles revendues par la célèbre maison de Londres WARTSKI , mais la maison les date de 1880. http://www.wartski.com/
1885. son poinçon, il est installé au 19 rue des Pyramides à Paris et le restera 35 ans
D'apres, la maison d'nchères Skinner,
Tabatière rare en ivoire sculpté et saphir, de Georges le Sache, vendu par Tiffany & Co., France, 19ème siècle,motifs sculptés dans l ivoire et sertis de saphirs cabochons, montures en or 18 carats, , marque de fabricant LS pour le Sache signés Tiffany & Co.
Note: Des exemples similaires d'ivoire sculpté par le Sache et vendus au détail par Tiffany & Co. sont illustrés dans Bejeweled par Tiffany 1837-1987, livre de Clare Phillips,
1890 d'après Vever
Broche Joaillerie Georges Le Saché
Broche diamants brillant et émeraudes cabochons
L excellente maison Hancock's de Londres, très sérieuse sur les historiques des joailliers a revendu cette très belle pièce
Pendentif Art
Nouveau en or et émail de Georges Le Saché, vers 1900, magnifique
pendentif et chaîne en or jaune 18 carats orné d'une figure
sculptée en ivoire d'une nymphe nue debout sous des branches de
glycines dans un cadre en or Les boucles de
cheveux flottantes autour d'elle et elle porte une seule fleur de
glycine comme un collier.
De Georges Le
Saché Période Art Nouveau
vers 1900*
Accompagné d'une
boîte en cuir marron avec à l'intérieur une
plaque en métal est fixée dans l' écrin sur laquelle on peut lire 'LA FÉE AUX GLYCINES'
C'est une boite à épingles en Ivoire , à deux compartiments ouvrants, figure de femme à l antique en or, email blanc et noir.
1895? broche platine diamant et perle revendue par Dekker antiquaires à Amsterdam
En 1891 Georges Eugene le Saché a quarante et un ans, sa femme trente trois ans, ils ont un enfant , Jean Jacques Le Saché qui décédera le 21/7/1982 a 91 ans à Paris, nous le retrouverons plus tard dans cet article.
En 1891 Georges Le Saché execute ce diadème pour Boucheron
Ce merveilleux travail d Ivoire a été réalisée par Georges le Saché en Ivoire, or et pierres précieuses
C'est une boite à Billets de banque
Boite réalisée en 1893 pour Boucheron
Détails de la boite à billets de banque
1893 cette pièce en cristal de roche, or, email , pierres précieuses est de Georges Le Saché
Cette montre Art Nouveau, pendentif avec boîtier
sur mesure et une broche est Signé Patek
Philippe & Cie, Genève, mouvement no. 107'964, fabriqué en 1896 pour Georges le Saché
Cal. Mouvement à
levier orné de 10 pi en nickel, compensateur bimétallique,
enroulement de loups, cuvette à enclenchement avec émail bleu royal
translucide sur fond moteur, cadran en émail blanc, chiffres arabes
noirs, divisions minuscules de chemin de fer et cinq pièces or arabe
divisions minuscules, boitier circulaire sur mesure, lunette
décorative en relief et saphir, trèfle émaillé vert clair
translucide et bordure à décor de diamants, fond ajouré orné d'un
luth assis dans un paysage, rouleau en relief, cabochon rubis et
émeraude en forme d'arc en forme de trèfle en émail vert émeraude,
volute et translucide vert émail, émail vert clair et orange
émaillé couronne en forme de fleur, broche en or ajourée, rubis et
émeraude assortie représentant une femme tenant une fleur.
A l époque les patrons comme Le Saché ( 19 rue des pyramides) passaient une annonce pour trouver un apprenti, de nos jours les futurs apprentis doivent démarcher les patrons pour essayer de se faire embaucher. A l époque les parents payaient le Maître d'apprentissage, de nos jours c'est l inverse.
J en eu un , il y a ...des années que j avais pris à l essai, ce n'était pas merveilleux, mais quand au bout de dix jours , il me demanda la date de ses vacances, me dit qu il avait des droits, etc , je convoquais les parents pour mettre fin à la période d'essai.............
C'est la maison Christie's qui a revendu ce coffret d ivoire, d'émail et d'or
De forme
rectangulaire, le couvercle à charnière en ivoire sculpté serti de
huit cartouches d'oiseaux et de motifs foliacés, l'écrin
représentant musiciens, danseurs et fleurs dans un cadre
architectural, l'émail champlevé multicolore géométrique et la
jante dorée, le poussoir cabochon rubis s'ouvrant pour révéler
trois compartiments en ivoire, 1892, 7.7x3.6x1.8 cm, avec des marques
de dosage françaises pour l'or
Signé FIC Boucheron
pour Frédéric Boucheron, no. 31 mais fabriqué par Georges le Saché
Bouteille de Parfum réalisée pour Boucheron par Georges Le Saché
Conçu comme un
flacon de parfum oblong sculpté en ivoire décoré de motifs
foliacés, rehaussé de feuilles d'émail vert et bleu et de trèfles
en rubis cabochon, rehaussé de cosses de saphir cabochon serties,
1892, 6,0 cm, avec des marques françaises pour l'or
Signé FIC Boucheron
Paris pour Frédéric Boucheron, no. 285
C'est difficile d'écrire sur des gens comme Le Saché, car les maisons pour qui il a travaillé ne le citent pas. Autant la maison Boucheron a cité dans des livres écrits à leur demande sur Boucheron, les oeuvres de Le Saché en indiquant que c'est lui qui les avait conçues et fabriquées, autant Tiffany (du moins dans les livres qui lui sont consacrés) ne le cite pas et pourtant ces pièces ont été certainement fabriquées par Le Saché pour Tiffany.
Ci dessus un encrier, un sceau, et une boite d allumettes de la fin du XIX eme.
Grande Jardinière, fabriquée par G.Le Saché pour Boucheron
Flacon à Parfums fabriqué par G Le Saché pour Boucheron
1900 Le Saché photo Michelle Stewart
Merveilleux etui de Georges Le Sache pour Tiffany en or et émail
Le poinçon de Georges Le Saché
La marque de Tiffany's, ces photos m ont été gracieusement fournies par Heritage Auctions, maison de vente importante aux Etats unis: www.HA.com
1901 la revue de la Bijouterie Joaillerie relate la remise de médaille a G.Le Saché
Robert le Saché, Fils de Georges
Bulletin de la société de Géographie Commerciale dont le Saché était membre
1907 la maison était toujours au 19 rue des pyramides
Cette photo doit dater de 1915 environ vu l'age de Robert, né en 1885 et m'a été adressée par Thierry Le Saché ce jour de février 2020.
Assis un peu a droite Georges le Saché qui se trouve derrière son petit fils Georges assis également.
A gauche au premier plan Robert le Saché Aufond avec un chapeau cloche Jean Le Saché frère de Robert. Cette belle photo a été prise à la maison de Georges à Chatou
1920 le poinçon de Le Saché Frères
La maison Christie qui l a revendu le date de 1921
Une boite en Ivoire , superbe travail.
Le corps
rectangulaire en ivoire de section ovale, appliqué avec deux bandes
dorées représentant des fleurs stylisées et un feuillage décoré
d'émail noir, blanc, gris et vert pâle à la base d'onyx et
couvercle à charnière 1921, 9,2 cm de haut, avec marque française
Signé Boucheron,
Paris, avec la marque du fabricant pour Georges le Saché
Marcel était le deuxième fils de Georges (1880-1926)
Georges Le Saché
1932 dans les archives commerciales de France, les deux fils de Georges, Jean et Robert fondent une société installée au 19 rue des pyramides
Cette broche a été
conçue par Georges et Jean entre 1937 et 1939. Destinée au marché,
elle a été transportée à Genève et protégée pendant la Seconde
Guerre mondiale. Elle a ensuite été conservée dans la famille et
donnée à la mère des vendeurs, l'actrice Pamela Stirling femme de Claude Le Saché, fils de Jean.
souvenir de son mariage dans les années
1950.
Georges et Jean Le
Sache, émail noir surmontée d'un turban serti de grenat, de
saphir, de turquoise et de perle avec un diamant.
Cette broche était accompagné de documents que la maison de vente "Saleroom " a publié.
Papiers de Jean Jacques Le Saché
Un faire part de mariage de Jean Le Saché avec Genevieve Bessault
Ces dessins seraient de Georges Le Saché
Ceux ci aussi
D autres documents figuraient dans cette vente mais sans explications.
Les fils de Georges transfèrent la société au 15 rue de Castellane
Peu de choses sur Robert le Saché, il participa a de nombreuses ventes aux enchères pendant la deuxième guerre mondiale
L épouse de Robert Alice Le Saché Née Bossuet (1887 -1971) était traductice de l'anglais et de l'italien .Elle a été notamment la première traductrice du roman deJack London" Radieuse aurore"
1942 dans le journal Coemedia
Thierry Le Saché , arriere petit fils de Georges Le Saché, m' a ecrit pour m' indiquer que ce n'est pas Georges le Saché Joaillier, mais son père qui avait 18 ans en 1943 qui était présent aux obsèques de son père Robert en 1943 "Journal Le Matin".
En 1950 son frère Jean est toujours installé au 15 rue de Castellane comme expert.
Jean n'eut qu'un fils, Claude qui fut journaliste à la BBC à Londres, il est l'auteur de l'essai "la grande bretagne en évolution"
En 1957 il est déclaré comme fabricant au 15 rue de Castellane
Il existe en effet une maison "Lesaché et guillemin" bijoutiers Joailliers dont le poinçon était LS freres et une bobeche dans l Azur de 1999 c'est a dire le meme poinçon depuis 1920!!!!!
Des renseignements, des documents je suis preneur: richard.jeanjacques@gmail.com
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