Là, sur le corps de la robe.., le corsage s'ouvre en pointe sur un corps baleiné, il est fermé par une patte sur laquelle est fixé un bijou, c'est le "Tâtez y".
A partir de 1670, nos arrières, arrières, et arrières grands parents employaient des termes suggestifs.
S'il est vrai que les ouvrières ne portaient qu'une chemisette, un caraco, une brassière, d'autres portaient des corsets pour avoir une taille fine à la mode.
On donnait à ces corsets des noms audacieux, "l'innocente" " la culbute" "les guêpes" "l'effronté", la criarde".
Du corsage à manches courtes, dépassaient des manchettes de dentelles, "les Engageantes".
la jupe était "la" ou "les" robes de dessous et le manteau de la robe, le dessus, garnies de plissés qu'on appelait, "les Prétintailles" ou "Falbalas" "le Faux cul"
Madame De fontange avait mis à la mode un chignon "la Fontange" ce chignon se portait en arrière, des accroches cœurs qu'on appelait "cruches" ou "mousquetaires", et au milieu de tous ces artifices le "boute-en-train" appelé surtout le "tâtez-y"
J'ai vendu des broches, des pendentifs que j'ai quelques fois adaptés à des décolletés vertigineux, j'aurais bien aimé les "tâtez-y"
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