Philippe Tournaire Cliquer pour agrandir |
C'était en 1997 , et ces derniers jours au fil d'un échange e-mail avec Serafino à Montréal, j'avais ressorti cette exposition de mes cartons, pour leur parler de la création de bijoux contemporains.
Finalement, ces photos (entre autres) de Beldicot, me paraissent toujours d actualité, alors je vous en offre quelques unes.
La premiere est une bague de Philippe Tournaire :
Finalement, ces photos (entre autres) de Beldicot, me paraissent toujours d actualité, alors je vous en offre quelques unes.
La premiere est une bague de Philippe Tournaire :
https://www.philippetournaire.com/fr/
Superbe le toutou avec la photo de la bague en collier de chien, qu'il ne m 'en veuille pas, elle me rappelle une montre de la marque Omega , dans les années 60 dont le bracelet était un pavage de pierres dures de formes différentes et entourées par un fil carré. Les idées de la mode sont un éternel recommencement, mais c'est tout ce que nous avons vu et assimilé qui ressort de notre cerveau pour créer
Cette bague ci-dessous a été crée par Didier Guillemain / Jeune Joaillier à qui j'avais demandé de rentrer a la commission création du CPDHBJO et qui fut l'instigateur de cette exposition rendez vous sur son site.
Merveilleuse Photo de Beldicot une bague en Turban et réalisation de cette bague par Didier Clauss
La grenouille qui se promène sur la broche Nénuphar en or jaune de Thérèse Sudre:
THÉRÈSE SUDRE : UN PARCOURS INHABITUEL - CRÉATRICE DE BIJOUX
Dessinatrice et créatrice de bijoux originaux et exclusifs, Thérèse Sudre a remporté plusieurs prix et participé à de nombreux salons qui l’ont amenée, en 1992, à se lancer dans l’exportation. Invitée au Japon par les magasins Seibu pour une exposition, elle fut remarquée pour ses créations aux matériaux innovants et put à cette occasion conclure une première commande de 350 pièces (l’équivalent de 600 000 à 700 000 francs). Cette première expérience lui fit croire que le marché japonais était facile d’accès, qu’il suffisait de s’y rendre pour que cela fonctionne, mais, l’année suivante, elle déchantait, n’ayant sans doute pas assez préparé sa mission.
A l’occasion d’une autre exposition de bijoux qui se tenait à New Delhi, elle put rencontrer des créateurs de différents pays et notamment des Japonais. Il s’agissait de la société Taj Entreprise (avec Kazuo Ogawa comme créateur ) avec laquelle elle tenta de faire affaire au Japon. Ils essayèrent de la présenter à de très grosses sociétés japonaises qui semblaient être intéressées par ses bijoux mais qui ont finalement abandonné car elles ont eu peur que ces créations soient trop vite copiées. Rien ne s’est donc concrétisé et elle prit alors conscience que ce marché était finalement beaucoup plus difficile que ce qu’elle avait pu imaginer. Une dizaine d’années plus tard (en 1996), elle retourna au Japon alors qu’elle était devenue fabricant officiel. Grâce à des amis créateurs qui exposaient depuis quelques années au Salon IJT (International Jewelry Tokyo : Salon professionnel de la bijouterie), elle put reprendre contact avec les Japonais qu’elle avait rencontrés auparavant. Séduits par l’évolution de sa collection, ils sont devenus son agent exclusif. Les affaires ont alors très bien marché pendant trois-quatre ans et puis ce fut le début de la crise. Toutefois, sur les encouragements de la Chambre de Commerce Lille, Thèrèse Sudre se décide à poursuivre l’aventure. Depuis, elle a conclu ses plus importantes commandes en retournant au salon IJT et y fit son meilleur chiffre d’affaires.
Ma Page, certaines de mes clientes n'avaient pas aimé, elles avaient fait le rapprochement avec "Langue de Vipère" Peut être que Beldicot, notre photographe y avait pensé, pour moi, c'est une bague que j'avais réalisé en 1962, pour ma mère, j'avais 20 ans, mon père l'avait baptisée "Bague EVE"
Superbe le toutou avec la photo de la bague en collier de chien, qu'il ne m 'en veuille pas, elle me rappelle une montre de la marque Omega , dans les années 60 dont le bracelet était un pavage de pierres dures de formes différentes et entourées par un fil carré. Les idées de la mode sont un éternel recommencement, mais c'est tout ce que nous avons vu et assimilé qui ressort de notre cerveau pour créer
Cette bague ci-dessous a été crée par Didier Guillemain / Jeune Joaillier à qui j'avais demandé de rentrer a la commission création du CPDHBJO et qui fut l'instigateur de cette exposition rendez vous sur son site.
Bague de Laurent Axel Limoges
La grenouille qui se promène sur la broche Nénuphar en or jaune de Thérèse Sudre:
THÉRÈSE SUDRE : UN PARCOURS INHABITUEL - CRÉATRICE DE BIJOUX
Dessinatrice et créatrice de bijoux originaux et exclusifs, Thérèse Sudre a remporté plusieurs prix et participé à de nombreux salons qui l’ont amenée, en 1992, à se lancer dans l’exportation. Invitée au Japon par les magasins Seibu pour une exposition, elle fut remarquée pour ses créations aux matériaux innovants et put à cette occasion conclure une première commande de 350 pièces (l’équivalent de 600 000 à 700 000 francs). Cette première expérience lui fit croire que le marché japonais était facile d’accès, qu’il suffisait de s’y rendre pour que cela fonctionne, mais, l’année suivante, elle déchantait, n’ayant sans doute pas assez préparé sa mission.
A l’occasion d’une autre exposition de bijoux qui se tenait à New Delhi, elle put rencontrer des créateurs de différents pays et notamment des Japonais. Il s’agissait de la société Taj Entreprise (avec Kazuo Ogawa comme créateur ) avec laquelle elle tenta de faire affaire au Japon. Ils essayèrent de la présenter à de très grosses sociétés japonaises qui semblaient être intéressées par ses bijoux mais qui ont finalement abandonné car elles ont eu peur que ces créations soient trop vite copiées. Rien ne s’est donc concrétisé et elle prit alors conscience que ce marché était finalement beaucoup plus difficile que ce qu’elle avait pu imaginer. Une dizaine d’années plus tard (en 1996), elle retourna au Japon alors qu’elle était devenue fabricant officiel. Grâce à des amis créateurs qui exposaient depuis quelques années au Salon IJT (International Jewelry Tokyo : Salon professionnel de la bijouterie), elle put reprendre contact avec les Japonais qu’elle avait rencontrés auparavant. Séduits par l’évolution de sa collection, ils sont devenus son agent exclusif. Les affaires ont alors très bien marché pendant trois-quatre ans et puis ce fut le début de la crise. Toutefois, sur les encouragements de la Chambre de Commerce Lille, Thèrèse Sudre se décide à poursuivre l’aventure. Depuis, elle a conclu ses plus importantes commandes en retournant au salon IJT et y fit son meilleur chiffre d’affaires.
Ma Page, certaines de mes clientes n'avaient pas aimé, elles avaient fait le rapprochement avec "Langue de Vipère" Peut être que Beldicot, notre photographe y avait pensé, pour moi, c'est une bague que j'avais réalisé en 1962, pour ma mère, j'avais 20 ans, mon père l'avait baptisée "Bague EVE"
Cliquer pour agrandir
En haut une montre bague d'ou le cigare
Une superbe Tourmaline Rose , qui symbolisait le Coeur dans une radiographie
Une bague avec d'un coté une perle noire de Tahiti et de l autre une perle blanche, le tout sur fond de carburateur anglais car la bague faisait penser à une came de moteur.
La dernière j'en ai parlé dans l'article précédent.
Une superbe Tourmaline Rose , qui symbolisait le Coeur dans une radiographie
Une bague avec d'un coté une perle noire de Tahiti et de l autre une perle blanche, le tout sur fond de carburateur anglais car la bague faisait penser à une came de moteur.
La dernière j'en ai parlé dans l'article précédent.
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